Né en 1976, Pierre-Julien Brunet est l’auteur de deux ouvrages : Serge Gainsbourg – Écrire, s’écrire, (Presses universitaires de Rennes, 2023) et Roanne, regards d’écrivains (Publications de l’Université de Saint-Étienne, 2018).
Il est également l’auteur des textes de trois livres publiés en collaboration avec le photographe David Tatin aux éditions Orbisterre : Calcaires (La confusion des sédiments) – Lumière Méditerranée, en 2022 ; À travers la frontière : L’exil en marche (Cerbère, Portbou, Banyuls), en 2019, et À pied d’œuvre (De Lure au Ventoux par les crêtes), en 2018.
Il a par ailleurs publié des articles d’histoire littéraire (Cahiers de l’Herne, Histoires littéraires), des poèmes dans diverses revues (Catastrophes, Décharge, Terre à ciel, Ce qui reste) et des nouvelles (Chimères, Carnets du Ventoux), ainsi que des traductions de l’anglais (Un anarchiste de Joseph Conrad, et La Grande Thérèse : La plus grande escroquerie du siècle d’Hilary Spurling).
Tout étudiant qui se respecte se souvient de son objet d’études à la faculté de lettres. Mais que faire quand l’attachement à la figure de l’écrivain nous suit et déborde du cadre strictement intellectuel ? Dans un texte précis et circonstancié, l’écrivain Pierre-Julien Brunet revient sur son attachement passé à la figure controversée de Cioran.