Née en 1997, Lysa Lamorisse étudie à Central Saint Martins à Londres avant de s’installer à Paris. Elle réalise son premier court-métrage en 2019, Blossom, et travaille actuellement comme directrice de production dans le cinéma. En parallèle, elle développe un long-métrage documentaire ainsi que deux fictions. Son travail explore l’intime et ses ambiguïtés, naviguant à travers les nuances des relations interpersonnelles.
Il faut se méfier du prénom Vénus. Déesse de l’amour, oui, de la séduction, c’est aussi le nom d’une planète. Son proxénète, Milo, pensait qu’on pouvait lui faire du mal impunément. Vladimir est un « client important ». Il faudrait tout accepter. Mais on sait que les déesses n’obéissent qu’à elles-mêmes. Ce sont elles qui font la loi.
Un texte puissant et viscéral de Lysa Lamorisse.
Le rugby : terreau des valeurs sportives, sport d’intégrité, de passion, de solidarité, de discipline. Sport d’appartenance aussi, où les bars se remplissent de supporters enthousiastes, suspendus aux passes de balle, aux mouvements dans la mêlée et aux actions des avants. Dans un texte réaliste, Lysa Lamorisse retranscrit brillamment l’attente en gare, l’espoir des supporters et (un peu de) l’atmosphère du Sud-Ouest.