Slacker : Génération nan nan - Zone Critique
Génération nan nan
Slacker
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Avant la consécration de Boyhood en 2014, Richard Linklater flemmarde sec. Dans Slacker, il élève l’oisiveté en art de vivre et suit des quasi-personnages bavards dans les rues d’Austin, sa ville natale. Film culte d’une époque assez sinistre, Slacker est d’abord une déambulation drolatique sans sujet qui fait la part belle aux opinions les plus ineptes. On cause entre autres choses de terrorisme, de l’assassinat de JFK, et d’extraterrestres pour tâter le pouls d’une jeunesse désaxée.

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Un article par Marthe Statius, le 27 mars 2024
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Marthe Statius
Rédactrice en chef de la rubrique cinéma

Co-rédactrice en chef de la rubrique cinéma, je collabore à l’aventure Zone Critique en tant
que critique. En parallèle, je mène un modeste travail de thèse consacré à la première critique américaine de cinéma pour soigner mon américanocentrisme. Mon dada ? Les chevaux des westerns de John Ford.
Cinéastes de cœur : Hawks, Pialat, Visconti, Cassavetes, Linklater.

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