
Celui qui n’a pas de prénom revient vers nous en voyage d’étude pour mettre un point final à sa thèse sur le lien en géographie. Nous attendions à la rédaction cet événement avec impatience. Nous nous réjouissons de constater que la voix cristalline du jeune Clément Bénech s’impose à nouveau, sans brusquerie, avec calme, sans fausse note comme un singulier chant du monde littéraire.

Lors de la parution de son premier roman, L’été slovène, au printemps de l’année 2013, nous nous étions agréablement laissés embarquer au sein du rêve éveillé du héros funambulesque bénechien, guidés par la plume du vaillant écrivain âgé de 21 ans à l’époque. Tel un félin sur la plus haute branche, le jeune homme, héros romantique de L’été slovène, surnommé