Le réalisateur américain culte John Waters, le Pape du Trash, l’empereur du mauvais goût, est de retour, plus déjanté que jamais, mais cette fois avec un roman, Sale Menteuse (éditions Gaïa). Véritable « épopée trash » digne de ses films les plus provocateurs (Pink Flamingos, Female Trouble…) de la grande époque Divine, Sale Menteuse raconte les tribulations de Marsha Sprinkle, une menteuse et voleuse pathologique, aux prises avec un amoureux obsédé sexuel hétéro mais dont le pénis (qui parle !)…
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