Posted by Hélène Boons on février 2, 2021 · Leave a Comment
Daphné, Maxime, François. Il s’agit dans le film de… Daphné, entre Maxime et François ; ou bien était-ce plutôt François, entre Daphné et Maxime ? Là où poindrait un scénario archi-rebattu du cinéma français, des premiers élans du désir à l’adultère bourgeois dans une maison de vacances, Emmanuel Mouret frappe fort, jusqu’à faire voler les habitudes en éclats, rendre caduque une facile affiliation à l’épuisant triangle amoureux.…
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Empêchée par la pandémie de Covid-19, la 73e édition du Festival de Cannes ne pourra prendre ses quartiers sur la Croisette le 12 mai. Ce jour sera aussi le lendemain d’un déconfinement empli d’incertitudes pour le monde du cinéma. C’est l’occasion pour Zone Critique de revenir sur l’histoire d’un festival qui a su se réinventer pour conserver son statut de plus grand événement culturel de la planète.…
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Category Cannes, Cannes 2020, Cinéma · Tags ACID, Carlos Saura, cinéma, Claude Lelouch, coméptition, croisette, festival, festival de cannes, films, François Truffaut, Georges Bonnet, Gilles Jacob, Histoire, HOward Hawks, Il Cinema Ritrovato Bologne, Jean Cocteau, Jean Zay, Jean-Luc Godard, Louis Lumière, Mostra de Venise, Netflix, Philippe Erlanger, Quinzaine des Réalisateurs, selection officielle, Semaine de la Critique, streaming, Thierry Frémaux, Tribeca, un certain regard, We Are One
Posted by Léa Merle on janvier 7, 2020 · Leave a Comment
It must be heaven, titre intraduisible en français. Ce doit être le paradis… C’est peut-être ça le paradis… décidemment non, le dernier film d’Elia Suleiman ne se traduit pas. On reste alors en langue anglaise et une autre expression nous vient, There is no place like home.…
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Posted by Coline Feldmann on décembre 6, 2019 · Leave a Comment
Thriller SF austro-britannique, Little Joe réserve une plongée dans un univers scientifique subtilement dérangeant. Aseptisé jusque dans sa mise en scène, il reflète le souci du détail de sa réalisatrice, Jessica Hausner. Si l’Autrichienne semble emprunter la symétrie de la composition des plans à Wes Anderson, elle ne joue pas la carte de la drôlerie mais celle du malaise esthétisé.…
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