Dans une salle jaune, saturée de basses et de sueur, chaque mouvement devient un cri. Ici, le hip-hop n’est pas un hobby, c’est un terrain de bataille, un appel aux ancêtres, à tous ceux qui sont morts. Ce beau texte de Louis ZaHagoun est une ode à la liberté, un appel à danser pour exister. […]
Dans la nuit glacée, un vieux château, des héritiers rongés par la décadence. Il vient pour régler les affaires de famille, mais c’est Diane, la sœur d’Émile, qui le trouble aussitôt. Entre les murs sombres et les regards brûlants, la tension monte. Cette nuit-là, il ne s’agit plus de simples papiers, mais de ce qui va se jouer, entre eux trois, dans ce huis clos silencieux et brûlant. Un texte brillant de Tiphaine Mora
Wolfgang, c’est la fuite vers Berlin, loin de l’ennui bavarois, pour plonger dans les nuits fiévreuses, entre squats, vinyles et passions brûlantes. Jusqu’à l’ombre de la maladie s’immisce, insidieuse, au cœur de cette liberté arrachée. Wolfgang, 1988 est l’histoire d’une jeunesse qui se consume, entre le vertige des désirs et la menace d’un virus qui rôde, tragique, prêt à tout faucher. Un texte puissant de l’écrivain Marc Chebsun.
La vie de Natacha se fissure lorsqu’elle remarque une odeur étrangère sur son mari. Convaincue qu’il la trompe, elle plonge dans une jalousie destructrice. Un texte sombre, mais juste, proposé par Thibault Djian.