Près de 70 ans après son suicide, Stefan Zweig continue de plaire aux lecteurs comme aux metteurs en scène. Les récits du “Pepsi de la littérature autrichienne” n’en finissent pas de hanter les planches et d’être réédités. Vingt-quatre heures de la vie d’une femme est ainsi cet été à l’honneur au Lucernaire.…
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