

Avant Saint-Omer (2022), la réalisatrice Alice Diop s’est rapidement imposée comme une des figures incontournables du cinéma documentaire, que cela soit avec La Permanence (2016) où elle se glissait dans un bureau ou La Mort de Danton (2011), où elle suivait les pas d’un jeune comédien en devenir. D’un regard perçant, elle scrute et portraye les oubliés.
Il vous reste 80% de ce contenu à lire
Cet article est réservé aux abonnés
S'abonner
Alice Diop est réalisatrice de films documentaires, mais aussi de fictions dont la première, Saint Omer, a reçu le César du meilleur premier film.

Rédactrice pour Zone Critique, j’aime aller au cinéma pour entendre les gens autour de moi sangloter, ricaner, chuchoter ou s’émerveiller. J’aime aussi y voir des films et spécifiquement ceux qui contiennent les pommes de terre en forme de cœur de Varda, les déserts de Wenders, les routes sinueuses de Kiarostami et les chambres d’Akerman.

Et vous, qu’avez-vous pensé de cette oeuvre ? Lancez ou participez à la discussion, partagez vos réactions avec la communauté, et faite de cet espace un lieu de partage et de débat constructif !