C’est l’histoire d’un film maudit, longtemps censuré aux États-Unis. Pontecorvo avait été jugé sévèrement par la critique française pour son fameux Kapò. Queimada renvoie à toutes les injustices, à toutes les dominations dans la pure tradition du western révolutionnaire. La bande-son de Morricone et l’interprétation de Brando en font une œuvre incontournable, avec tous les défauts d’une tentative désespérée pour débusquer l’idéologie coloniale.
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S'abonnerCo-rédactrice en chef de la rubrique cinéma, je collabore à l’aventure Zone Critique en tant
que critique. En parallèle, je mène un modeste travail de thèse consacré à la première critique américaine de cinéma pour soigner mon américanocentrisme. Mon dada ? Les chevaux des westerns de John Ford.
Cinéastes de cœur : Hawks, Pialat, Visconti, Cassavetes, Linklater.
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