Posted by Romain Debluë on novembre 3, 2017 · Leave a Comment
Il y a cent ans, jour pour jour, Léon Bloy rendait son âme à Dieu. Pour l’occasion, la presse semble être saisie soudainement d’une assourdissante admiration pour celui qu’elle assassina pourtant de son silence inlassable, naguère. Preuve supplémentaire, s’il le fallait, que le génie a toujours – au moins – un siècle infini d’avance sur la stupidité journalistique ; et qu’il n’y a certes aucune raison de supposer que notre époque, lorsqu’elle exhausse ses prix Goncourt et exalte ses prix Renaudot, fasse à cette loi souveraine exception.…
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