Dans ce roman, le onzième opus de la fresque des Rougon-Macquart, Émile Zola dépeint la naissance des grands magasins et les conséquences que leur création a sur le petit monde parisien en cette fin du XIXᵉ siècle, fidèle à sa réputation de défenseur du milieu ouvrier.
Il vous reste 80% de ce contenu à lire
Cet article est réservé aux abonnés
En ce moment profitez du premier mois à 1€ pour votre abonnement numérique
S'abonner
Émile Zola (1840-1902) est le créateur du mouvement naturaliste dans lequel s’inscrit notamment sa vaste fresque familiale en vingt volumes des Rougon-Macquart dont fait d’ailleurs partie Au bonheur des dames. Il s’attache ainsi à dépeindre les caractères avec une précision clinique et à appliquer une méthode scientifique à l’écriture, s’appesantissant sur la classe ouvrière. Également journaliste, il est aussi connu pour ses prises de position pendant l’affaire Dreyfus : son célèbre « J’accuse… ! », une lettre ouverte publiée dans L’Aurore en 1898, prend la défense du capitaine. Aujourd’hui encore, des doutes subsistent au sujet de sa mort : asphyxié à l’oxyde de carbone, il s’éteint en 1902, mais était-ce réellement un accident ?
Après des études concentrées sur l’Amérique et le Royaume-Uni, sur leurs mots et sur leurs histoires – avec ou sans majuscule –, Cécile Péronnet navigue désormais entre édition, traduction et critique littéraire, particulièrement sensible aux lettres d’ailleurs.
Et vous, qu’avez-vous pensé de cette oeuvre ? Lancez ou participez à la discussion, partagez vos réactions avec la communauté, et faite de cet espace un lieu de partage et de débat constructif !
