Dans ce roman onirique de 1947, à la fois doux et violent, Boris Vian dévoile certaines de ses convictions politiques, dépeignant ainsi un monde du travail monstrueux et une société qui broie les rêveurs, mais il parachève surtout son univers fantasque inimitable.
Il vous reste 80% de ce contenu à lire
Cet article est réservé aux abonnés
En ce moment profitez du premier mois à 1€ pour votre abonnement numérique
S'abonnerAprès des études concentrées sur l’Amérique et le Royaume-Uni, sur leurs mots et sur leurs histoires – avec ou sans majuscule –, Cécile Péronnet navigue désormais entre édition, traduction et critique littéraire, particulièrement sensible aux lettres d’ailleurs.
Et vous, qu’avez-vous pensé de cette oeuvre ? Lancez ou participez à la discussion, partagez vos réactions avec la communauté, et faite de cet espace un lieu de partage et de débat constructif !