

Parmi les premiers films tournés au Danemark de Nicolas Winding Refn, l’on retient tout particulièrement sa trilogie Pusher, sa version sous cocaïne du Parrain qui métamorphosait les mafieux de Coppola en petites frappes plongées dans une abysse de violence et d’échec. Cependant, son second film, beaucoup moins connu mais ressorti il y a quelques années, Bleeder, est lui aussi une œuvre tonitruante mais bien plus mélancolique.
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S'abonnerCo-rédacteur en chef de la rubrique cinéma et surtout défenseur incontesté du mal-aimé Only God Forgives. Je n’ai pas trouvé de sujet de thèse donc je me suis contenté d’un master en cinéma pour lequel j’ai étudié la fin de carrière de Lars Von Trier et son rapport agité à la mélancolie.
Cinéastes de cœur : Winding Refn, De Palma, Dreyer, Mizoguchi, Cronenberg, Friedkin …

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