Posted by Guillaume Pinaut on février 1, 2015 · 1 Comment
En ressuscitant Évariste Galois, François-Henri Désérable, jeune écrivain de 27 printemps, se projette dans la légende d’une figure échevelée et fait résonner, dans une prose aussi espiègle que maîtrisée, l’un de ces envers de l’Histoire chers à Balzac.
L’essor du romantisme, cette affection de l’âme et des nerfs qui s’acoquina bien des garçons du stupide XIXème siècle, fut étroitement lié à la prolifération des duels autant que des cénacles.…
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