

Le cinéma suédois burlesque et volontiers pince-sans-rire évoque aussi le tragique de l’existence. Dans A Swedish Love Story, Roy Andersson en livre une version romantique à la beauté lumineuse qui rappelle les toiles du maître Anders Zorn.
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S'abonnerCo-rédactrice en chef de la rubrique cinéma, je collabore à l’aventure Zone Critique en tant
que critique. En parallèle, je mène un modeste travail de thèse consacré à la première critique américaine de cinéma pour soigner mon américanocentrisme. Mon dada ? Les chevaux des westerns de John Ford.
Cinéastes de cœur : Hawks, Pialat, Visconti, Cassavetes, Linklater.

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